Dans le sillage de la mondialisation, une génération d’universitaires prétend étudier l’histoire autrement en embrassant tous les siècles et les continents. Une démarche très idéologique, comme l’explique Patrice Gueniffey.
Le Figaro - Que vous inspirent ces nouvelles histoires globales qui fleurissent depuis celle de Patrick Boucheron, où le principe est de décaler le regard par rapport aux histoires classiques, au risque de devenir un « procédé » ?
Patrice GUENIFFEY - C’est un procédé systématique, (...)